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Tout ce que je pense ou fais !!

Vendredi 9 novembre 2012 à 18:37

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste d'melver

Chui t'un adolescent
Comme toué s'autres tannants
Chui contant et souffrant
J'croque dans vie plainement

J'me couche à des heures inadaptées
J'dors presqu'une journée
Et j'fais des rêves démesurés
E'lver, j'me fais harceler pour qu'j'aille m'coucher

Ente les soirées indisposées
Et sés amours trop compliquées
Chui souvent provoquer
Par mes parents brimés

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste d'm'elver

J'ai pas envis de'rgarder le temps pâsser
Pour m'appercevôîry s'é tout'écoulé
À place, j'aime mieux jouer
Et surtout pas l'gâché

Hélâs, j'dois étudier
Pour que plustard j'puisse travailler
Et pt'être avoir une vie animée
Et remplit d'responsabilités

Pour ça, j'dois sûrement
Arrêter mes'enfantillages agaçants
M'coucher tôt et fêter moins souvent
Mais pour l'moment présent

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste dme'lver

« Alors arrêter dm'harceler
Pour qu'j'aille m'coucher »

Dimanche 4 novembre 2012 à 3:30

C'était une jour d'hiver sombre
Je merchais dans l'ombre
Et mon regare a croisé le tien
Puis, on s'est pris la main

On a commncé par marcher simplement
Pour ensuite, s'embrasser lengoureusement
On ai rentré chez moi, très lentement
Où là on s'est fait du plaisir excitant

Tu étais mon rayon de soleil amoureux
Tu étais mon nuage douloureux
On semblait être imortels
On allait vivre jusqu'à l'Éternel

Dans ces temps enjoués
Je n'aurais jamais cru imédiatement
Que tu aurais voulu me faire souffrir amerment
Ni que tu allais me manipuler et me briser

Puisque tu as tout fait pour me brouiller
J'étais comme un oiseau en flamme
J'étouffais d'amour pleine de boucanes
Tu ne faisais que me mentir pour mieux me briser

Et moi je n'y voyais que de l'amour
Je me disais que ça allait durer pour toujours
Évidement, je me trompais carrément
Puisque c'était nullement voyant

Mais tout a basculé, un jour d'été
Toi qui m'avais long-temps meti
Tu as tout fais pour m'écraser, me tuer, me pulveriser
Tu t'es montré méchant, fielleux, tu ma trahi

J'ai du me renfermer pendant des années
En essayant de me consoler
Avec des amies si pressieuses
Qui ont essayées de rendre ma vie plus heureuse

Anjourd'hui encore je ne vois personne
Cette histoire ma tellement tromatisée
Que je suis resté seul dans mes tonnes
Des tonnes abîmées comme de l'acier rouillé

Seul une personne peut me faire sortir
De ces tonnes désolantes et accablantes
Une personne qui peut me faire souffrir et sourrir
Et je pourrai enfin retourner à la réalité désolante

J'espère que cette personne s'en viens
Il y a tellement long-temps que je n'ai pas pris de bain
Et qu'elle puisse me rendre totalement heureux
Pour que je ne sois plus jamais fièvreux

Mardi 30 octobre 2012 à 0:02

Vous, mes amies les plus chères, avez commencer à fumer
Si par chance vous arrêteriez de cloper, vous pourriez vous payer
Quelque chose à consomer, moins risqué pour votre santé
Mais hélas, vous êtes incapable de cèsser, puisque vous avez eu le malheur de commencer

Avant que vous débutiez ce poison malodorant
Nous n'avions jamais besoin de sortir dehors si précipitamment
Au lieu, on s'amusait, riait, gnaisait abondament
Et vous n'empestiez pas autant

Le midi on mageait ensemble longtemps
Se promener, se parler et s'acheter des sloshs étaient notre passe-temps
Les professeurs nous trouvaient arogants
Cependant nous on se croyait amusant

Du jour au lendemain, tout à changer
Aussi tôt que vous n'aviez plus votre dose de nicotine, c'était la panique assurée
On courrait par tout pour vous trouver des cigarettes grossièrement taxées
Il faut maintenant sortir pour se geler le fessier

À chanque manque vous êtes dangereuses
Le matin comme le soir vous êtes de plus en plus parresseuses
Vous vous lever uniquement pour aller fumer, quelle odeur monstrueuse
Au moins, vouv vous aspergez des parfun à l'essence de roses radieuses

Mon arrière-grand-père est mort assez dopé
Je ne lui ai jamais parlé ou même rencontrer
Je ne sais pas s'il était gentil ou mêlé
Tout ça parce qu'il à commencer à fumer et qu'il n'a pas été capable d'arrêter

Mes chères amies, ne faites pas cette erreur stupide
Arrêter pendant que vous pouvez encoreet tout sera plus fluide
Comme une belle eau limpide
Et ça ne vous coûtera plus aussi chèr en cigarettes intrépides

Près de vos quarentes ans
Je ne veaux pas que vous appreniez que vous avez finalement un cancer méchant
Un poumon absant t un eusophage défaillant
Et votre odeur comme avant

Je n'ai pas le goût de vous voir agées et empoisonnées
Entre la vie et la mort avancée
Devoir venir vous voir dans vos maisons empestées
Coucheés dans votre lit de mort entraines de fumer !!

Samedi 27 octobre 2012 à 4:34

INTIMIDÉ POUR SON HOMOSEXUALITÉ

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que sa va bientôt cècer

Avant j'étais libre et égal
Je n'avais que faire des pensés des autres si capitales
S'amuser et rire, c'était vraiment banal
Je n'avais pas a me casser la tête pour être jovial

Tout était si tranquille
J'étais normal, je croyais aimer les filles
Elles me couraient toujours après comme si elles étaient des chats qui cherche un fil
Et moi je me laissais faire tirer comme une quille

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai vraiment assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer

Tout a changé le jour de mes 12 ans
Lui qui était autresfois sage et normal se réveille par un son de cadrant
Ma mentalité et ma sexualité avait changé spotanément
Mon cerveau et mon corps avaient fait un bon de grands

J'ai commencé à regarder les garçons radieux
Obliant les filles devenu inatirantes, j'ai attrapé un air peureux
De ce que j'étais devenu, je me suis alors renfermé comme un petit piteux
À cette âge je croyais que c'était dangereux

C'est des anées plus tard, que j'ai decidé d'en parler
Mes amis furent les prmiers renseignés
Ils me soutenaient avec fierté et gaité
Le lendemain, tout l'école à été renseignée par une bouche mal fermée

Depuis ce jour malheureux
Insultes et commentaires douloureux
Traversent les passages monstrueux
Seul mes amis povaient me protégés, ils étaient courageux

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt se terminer

J'ai  pensé me suicider
Dévoué à leur en faire baver
Je n'ai pas eu le courage de continuer
Je n'étais sans doute pas assez hâlé pour me... tester

Quand les élèves n'ont rien n,a faire, ils m'équeurrent
Tout ça parce que j'aime les beaux garçon charmeurs
Je ne croyais pas que des humains pouvaient être sans coeur
J'ai tombé dans leur pièges, se sont les leur

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer

Je rêve d'un monde égal
Où les différences sont banales
Où je peux parlé à des personnes joviales et amicales
Mais je rêve surtout du jour où je n,aurai plus mal

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer
Et qu'ils vont m'accepter !!!

Jeudi 25 octobre 2012 à 2:58

Une idée, une leçon de vie !!
C'était pas une nuit ténébreuse que je décidai de me présenter comme président des secondaires 3. Spontanément, ma décision fut prise. Je me mis au travail! Un long crayon à la main, j'écrivis mon texte, étant donné qu'il en fallait un de toute évidence, pour parler devant eux. Pour moi parler devant un vaste publique énergique n'est que pure plaisanterie. Mon texte était construit de la même façon qu'un exposé oral soit : une introduction, des aspects et une conclusion. Je plaçai les paragraphes (aspects) en ordre du plus ennuyant au moins ennuyant. Je terminai ce texte et le pratiquai. Il était long et aisé à apprendre. Une fois assimilé, j'eus naturellement le temps de me coucher. Un quart d'heure après m'être couché, je dormis, complètement exténué.
 
Quelques semaines après cette décision capitale, je me réveilla, comme tous les jours, content de leur annoncer la nouvelle. À l'école j'attendis leur arrivée, mais pas bien longtemps. Un chance!! Arrivèrent en nombre, dans le même troupeau, mes amies fatiguées et épuisées de leur soirée passée, m'écoutèrent avec fugueurs. Moi surexciter je leur dis la nouvelle. Elles me félicitèrent et m'encouragèrent. Elles étaient ravies pour moi et avaient une multitude de projets à me proposer.
 
Je ne leur avais point dis que la seule raison que j'avais pour me présenter aux élections était de mettre une brève compétition pour ces élections là na soient pas ennuyantes.
Peu de jours après, je réfléchis à pourquoi je voulais me présenter, mise apport la raison lamentable que je pensais. Finalement, après une belle heure de concentration à chercher la réponse, j'ai trouvai : « Je voulais mettre plus de vie dans l'école, en y ajoutant des activités et des projets et bien sûr me faire enfin respecter. »   
Puis, vint la date du discours, je fus prêt. Au lycée, à côté de la scène, je me rendis compte que l'autre élève passait avant moi. La déception de ne pas avoir passé le premier m'envahis. Subitement, un enseignant pétulant rentra dans la pièce où moi seul et déprimé, étais assis. Bruyant et jovial, il essaya de me motiver. Il parvint avec succès.
 
Le discours décent de l'autre élève termina et se fut vraisemblablement mon tour à embarquer sur la scène. Arrivé directement devant le public, mes mains mouillées et non moites s'agitèrent, mes jambes tremblèrent, mon cœur battit à des kilomètres... Bref, j'étais stressé à mort!!! Mais puisque j'étais sur scène, je n'eus par conséquent le choix de commencer mon discours.
 
Quelques-uns, pour ne pas dire pratiquement la totalité, eurent envi de s'en aller, au début, mais tous restèrent (sûrement par preuve de respect et par obligation). Trois personnes prosaïques se levèrent et se rassirent par gêne. De plus en plus, que je parlais les gens changèrent leur façon de me voir : leurs visages tantôt frénétiques changèrent du tout au tout !! Ils étaient maintenant rempli d'espoir et de compréhension. Une fois mon discours fini, les téléspectateurs applaudirent et crièrent à pleine voix. Mon discours rempli d'émotions fut un franc succès. Enfin, j'eus la meilleure sensation du monde. Celle qu'on ressent après un moment de stresse atroce qui se transforme  en moment rempli de gaité. Quelle sensation unique!!
 
Approximativement, 15 minutes après mon discours, mes amies vinrent me voir. Elles parlèrent absconsement, mais avec joie. Elles m'eurent également collées, félicitées, encouragées et soutenues.
 
La cloche retentit, j'allai à mon cours. Studieusement, je fis mes travaux, mes devoirs et par la suites je parlai de mon discours avec quelques personnes. Une fois chez moi, je m'écroulai sur mon lit. Je dormis jusqu'au lendemain matin où là, je su, à l'école, que j'avais perdu!! Accablé de tristesse, je partis seul dans un coin reculé de l'école pour réfléchir, me consoler et pleurer... Entre temps, mes amies inquiètes de ne pas me voir partirent à ma recherche. Elles finirent par me trouvées, j'était laissé-pour-compte et triste. Elles essayèrent de me motiver, de me consoler, mais j'étais complètement renfermer. Jusqu'à ce que Corinne me dise :
« Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal : c'est le courage de continuer qui compte »
Sèchement, je lui répondis :
« Winston Churchill »!!
À ce moment précis, je compris que ce n'est pas graves d'avoir des échecs et qu'au contraire il en faut pour continuer notre route et avancer dans la vie !
Depuis ce jour là, chaque échec que j'ai, est une chance de me relever plus fort. Et voilà , une idée, une leçon de vie!!!
 
               

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