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Tout ce que je pense ou fais !!
Mercredi 24 octobre 2012 à 1:34
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four
Même si ta mère est sans cèse stressée
Ou qu'elle fait la maman poule pour te protéger
De mavaise humeur elle reste ta maman adorée
Puisqu'au fond c'est elle que t'a « fabriquée »
Tu est lié par le sang pour l'éternité
Coute que coute, elle va te protéger, t'aimer, te soulager, t'encourager, te motiver, te consoler... et ce pour l'étarnité
La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four
Malgré les chicanes fréquantes entre frères tannants
Les pleurs et les mots insultants
Les longues peines, on se comprend
On s'aime sans se le dire fréquament
On ai frère par le sang
La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit la situation, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four
Que ce soit ce sacre abondant
Cette confiance aveuglante
Ou cette peur térrifiante
Les disputes ou les bisous fatiguants
Il ne cècera jamais de t'aimer totalement
Ou de se taire carrément
Que veux tu, c'est ton père qui t'aimme follement
Apprend à l'aimer autant !!
Apprend
La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans le four
Tes grand-parents sont amusants
Agés, mais toujours contants et sourriants
Encore mariés malgré le temps
Tu joues aux cartes avec eux, rarement
Profite s'en !!
C'est tes grand-parents
Il leur en reste peut-être pu pour longtemps
L famille c'est l'amour
C'est de rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans le four
Collées sur toi, tes cousines sont belles
Elles ont l'air tellement maternelle
Avec elles tu leur confies tous, même les plus belles
Avec elles tu rigoles, t'amuses, parles, fais des conneries, tu t'emerdes ...elles
T'aime, ne t'en fais pas... c'est pour l'éternelle !!
C'est ça la famille : l'amour
Pour toujours
Les collades, les enguelades, les chamaillages, les sacrages, les rigolades, les emmerdages, les .... Chaque jours !!
Rien ne la doissous!! <3
Lundi 22 octobre 2012 à 13:24
Samedi 20 octobre 2012 à 23:57
Il y a deux ans de cela, ma famille et moi avions été à la plage. Certes avant d'y aller, il fallut nous préparer. Alors nous nous préparâmes tous. Comme à l'habitude, mon beau père, le dernier fut obligé d'aller au toilette, puisqu'il a toujours envi d'y aller a des momments inoportuns.Une fois tous monté, dans l'auto, mon frère et moi, jouions pour passer le temps. Sans trop déranger ceux d'en avant donc mes parents, j'écoutai tranquillement de la musique, surtout celles de NRJ. Mon frère, quant à lui, joua avec son ipod à des petits jeux banals. La qui était plus longue que prévu nous denna le goût de dormir, alors nous nous endormîmes.
Arrivés, nous nous réveillîmes et nous débarquâmes. Chacun apporta un bagage. Nous devions marcher quelques minutes pour arriver à la plage. Mon frère ayant une maladie au genoux, il tomba tête la première. Incapable de se relever, ma mère l'aida. Une fois debout, nous aperçûmes une grosse bosse (équimose) sur sont fron. Les parent qui étaient protècteurs au plus haut point, s'affolèrent. Voyant cela, moi si brillant, j'eu l'idée d'aller chercher la trousse de premier soins. Ma mère s'en servit et mon frère put arrêter de pleurer.
Un fois arriver, eux s'installèrent. Quant à moi, j'allai tout de suite à l'eau... elle était froiden non pas froide plutôt : « fraitte » !! Mais se c'était pas cela qui allait m'arrêter, j'y entrai membre par membres. Après deux minutes, j'en avait par dessus la tête, je jugeai alors que j'était assez loin.
Après plusieurs heures dans l'eau, j'aperçus un triangle gris pâle qui flottait sur l'eau. Impossible de dire c'était quoi !! Quand soudain, il avança vers moi à une vitesse fénoménale. Voyant cela, je me mis à nager de toutes mes forces, j'étais très rapide. cependant, le triangle qui parraissait plus gros à chaque fois qu'il s'envassait était plus rapide que moi. Me tournant, j'aperçus un géant requin blanc. Pris de panique, je gesticulai,criai, hurlai pour que mes parents sachent que je suis en danger. Malgré l'adrénaline qui m'envahissait, le requin me rattrapait. L'horreur se produisit !! Il me prit férocementpar la jambe avec ces dents asserées. Hurlant à toute voix de mal, je sentis de la peau, des muscles pendant, acréchées par quelques fils, dans sa bouche. L'eau au tour de moi n'était plus bleu translucide, mais bien rouge sang et même un peu plus foncé.
Mes parents affolés par mes hurlements, coururent et nagèrent à ma rescousse. Armés d'énormes fusils, ils sont arrivés à côté de moi. Ils appuyèrent simultanément sur la gachette en voyant ce gros requin. Pahff !!! Le requin relacha ma jambe et s'en allait avec deux gros trous au corps.
Ensuit, mes parents me sortirnt de l'eau, ma mère hurlait à s'en défaire les cordes vocales, tandis que mon beau père, étant calme de nature, me fit un bandage temporaire avec un bout de chandail et du papier-collant qu'il avait trouvé dans la trousse. Je me fis transporter jusqu'à l'auto. Assi, je voyais la sang sur mon bandage et c'était dégoûtant !! Ma mère nous conduisait à l'hôspital, mais elle était en état de choc. Elle roulait terriblement vite.En échappant deux accidents, ma mère me dit : « nous sommes bientôt arrivés, ne t'inquiète surtout pas... reste calme ! » Étant énervé et faible, vu le sang qui s'est écoulé, je pris une grande respiration et me détendis.
Arrivés à l'hôpital, encore là, mon beau me transporta à l'interieur. Entrés, je n'eus mème pas le temps de m'assoir et d'attendre. Il m'ont tout de suite amené au bloque opératoire. Changé, prêt je m'instalai sur la tabled'opération... on dirait que j'était à la morgue tellement il faisait sombre, froid et inconfortable ! Malheur !! Anasthésie générales. J'ai alors dû souffler dans un ballon. Étant suposer le faire approximativement dix fois, je n'eus même pas la force de le faire plus que 3 fois et je m'endormis.
L'opération qui avait durée cinq longues heures était finalement terminée. Ils me déplacèrent dans une sale éclairée et partiquement vide. Ma famille attendait là fatiguée, en espérant que je me réveille. Spontanément, j'ouvris les yeux. Un mal de tête intense me pris et disparut. Allant mieux, ayant survécu, je plerai de joie et j'embrassai tous les membres de ma famille, les serrant contre-moi le plus fort possible. Je venais de réaliser à quel point la vie est précieuse et à quel point j'ai été chanceux de survivre à cette opération. Depuis se temps là je vis jour pour jour et croyez moi j'en profite !!!!
Samedi 20 octobre 2012 à 21:31
Samedi 20 octobre 2012 à 21:14
C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Elles si belles et si éternelles
Se faisaient traiter de poubelle
Contraintes à rester isolées
Seules sans ami pour les surveiller
Pour s'amuser ou même se confier
Elles étaient déprimées
La neiges réfléchissait leurs visages
Les insultes résonnaient dans le passages
Malgré tout elles restaient perchées sur leur rivage
Les professeurs de l'école n'y voyaient rien
Pourtant elles étaient traiter comme des chien
Des moins que rien, des putins, des crotins
Ils n'y voyaient rien, même si elles pleuraient leurs reins
C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Elles qui étaient si belles et si naturelles
Se faisaient traiter de poubelle
Grossièrement remplit d'insultes leurs coeurs gelés
Nattendaient que des amis sur qui compter
Et espérer être dégéler
Leurs amours cachés dans les poux
Terrorisées par la réaction des fous
Elles sortirent des recoins par le brillements des bijoux
Liberées, elles perdirent au ventre, leurs trous
Les deux amoureuses réunies
Vont s'aimer jusqu'à la fin de leur vie
Leur peur d'affronter la vérité s'abolit
Liberées elles pensèrent que la partie était fini
Quelle connerie
C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Belles comme l'éternelle
Elles se faisaient traiter de poubelle
Les deux tourteraux scintillentes
Furent prises d'une rage aveuglante
Celle de choisir entre entre la mort ou les vivants
Décidèrent, elles étaient prêtes... apparemment
C'était un malheureux Noël
On accueillait la mort des nouvelles
Elles si belles et si mort``elles
Se faisaient traiter de poubelle
Elles seules à Noël
Prirent les pilules des mort``elles
Les anges désendus du ciel
Sont venus retrouver leurs âmes surréels
Maintenant devenus immortels
Leurs suicides ayant fonctionnées
Les parents furent attristés
Les cons remplis de remords éternelles
Et une terre sans elles
Souffrances et morts, c'était un Noël
On pleurait sur ellles qui étaient au ciel
Elles qui semblaient si éternelles et marternelles
Maintenant se faisaient respecter au pluriels
Gravés dans nos mémoires jusqu'à notre mort
Nous n'avions jamais pu exprimer avec précision le tord
Que l'on leur avait fait par peur
D'etre rejeter, on n'est accablés de remords
C'était un Noël mort``elles
C'était une histoire réelle
On accueillat les nouvelles
Elles qui étaient si belles
Furent emportées par le ciel
Par la seule raison cruelle
De les avoir traiter de poubelle