xvt-gabriel-vie666-citations-dt0

Tout ce que je pense ou fais !!

Vendredi 9 novembre 2012 à 18:37

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste d'melver

Chui t'un adolescent
Comme toué s'autres tannants
Chui contant et souffrant
J'croque dans vie plainement

J'me couche à des heures inadaptées
J'dors presqu'une journée
Et j'fais des rêves démesurés
E'lver, j'me fais harceler pour qu'j'aille m'coucher

Ente les soirées indisposées
Et sés amours trop compliquées
Chui souvent provoquer
Par mes parents brimés

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste d'm'elver

J'ai pas envis de'rgarder le temps pâsser
Pour m'appercevôîry s'é tout'écoulé
À place, j'aime mieux jouer
Et surtout pas l'gâché

Hélâs, j'dois étudier
Pour que plustard j'puisse travailler
Et pt'être avoir une vie animée
Et remplit d'responsabilités

Pour ça, j'dois sûrement
Arrêter mes'enfantillages agaçants
M'coucher tôt et fêter moins souvent
Mais pour l'moment présent

Chui pas fatigué
J'ai pas envis d'aller m'coucher
Trop'excité et enjoué
J'viens juste dme'lver

« Alors arrêter dm'harceler
Pour qu'j'aille m'coucher »

Dimanche 4 novembre 2012 à 3:30

C'était une jour d'hiver sombre
Je merchais dans l'ombre
Et mon regare a croisé le tien
Puis, on s'est pris la main

On a commncé par marcher simplement
Pour ensuite, s'embrasser lengoureusement
On ai rentré chez moi, très lentement
Où là on s'est fait du plaisir excitant

Tu étais mon rayon de soleil amoureux
Tu étais mon nuage douloureux
On semblait être imortels
On allait vivre jusqu'à l'Éternel

Dans ces temps enjoués
Je n'aurais jamais cru imédiatement
Que tu aurais voulu me faire souffrir amerment
Ni que tu allais me manipuler et me briser

Puisque tu as tout fait pour me brouiller
J'étais comme un oiseau en flamme
J'étouffais d'amour pleine de boucanes
Tu ne faisais que me mentir pour mieux me briser

Et moi je n'y voyais que de l'amour
Je me disais que ça allait durer pour toujours
Évidement, je me trompais carrément
Puisque c'était nullement voyant

Mais tout a basculé, un jour d'été
Toi qui m'avais long-temps meti
Tu as tout fais pour m'écraser, me tuer, me pulveriser
Tu t'es montré méchant, fielleux, tu ma trahi

J'ai du me renfermer pendant des années
En essayant de me consoler
Avec des amies si pressieuses
Qui ont essayées de rendre ma vie plus heureuse

Anjourd'hui encore je ne vois personne
Cette histoire ma tellement tromatisée
Que je suis resté seul dans mes tonnes
Des tonnes abîmées comme de l'acier rouillé

Seul une personne peut me faire sortir
De ces tonnes désolantes et accablantes
Une personne qui peut me faire souffrir et sourrir
Et je pourrai enfin retourner à la réalité désolante

J'espère que cette personne s'en viens
Il y a tellement long-temps que je n'ai pas pris de bain
Et qu'elle puisse me rendre totalement heureux
Pour que je ne sois plus jamais fièvreux

Mardi 30 octobre 2012 à 0:02

Vous, mes amies les plus chères, avez commencer à fumer
Si par chance vous arrêteriez de cloper, vous pourriez vous payer
Quelque chose à consomer, moins risqué pour votre santé
Mais hélas, vous êtes incapable de cèsser, puisque vous avez eu le malheur de commencer

Avant que vous débutiez ce poison malodorant
Nous n'avions jamais besoin de sortir dehors si précipitamment
Au lieu, on s'amusait, riait, gnaisait abondament
Et vous n'empestiez pas autant

Le midi on mageait ensemble longtemps
Se promener, se parler et s'acheter des sloshs étaient notre passe-temps
Les professeurs nous trouvaient arogants
Cependant nous on se croyait amusant

Du jour au lendemain, tout à changer
Aussi tôt que vous n'aviez plus votre dose de nicotine, c'était la panique assurée
On courrait par tout pour vous trouver des cigarettes grossièrement taxées
Il faut maintenant sortir pour se geler le fessier

À chanque manque vous êtes dangereuses
Le matin comme le soir vous êtes de plus en plus parresseuses
Vous vous lever uniquement pour aller fumer, quelle odeur monstrueuse
Au moins, vouv vous aspergez des parfun à l'essence de roses radieuses

Mon arrière-grand-père est mort assez dopé
Je ne lui ai jamais parlé ou même rencontrer
Je ne sais pas s'il était gentil ou mêlé
Tout ça parce qu'il à commencer à fumer et qu'il n'a pas été capable d'arrêter

Mes chères amies, ne faites pas cette erreur stupide
Arrêter pendant que vous pouvez encoreet tout sera plus fluide
Comme une belle eau limpide
Et ça ne vous coûtera plus aussi chèr en cigarettes intrépides

Près de vos quarentes ans
Je ne veaux pas que vous appreniez que vous avez finalement un cancer méchant
Un poumon absant t un eusophage défaillant
Et votre odeur comme avant

Je n'ai pas le goût de vous voir agées et empoisonnées
Entre la vie et la mort avancée
Devoir venir vous voir dans vos maisons empestées
Coucheés dans votre lit de mort entraines de fumer !!

Samedi 27 octobre 2012 à 4:34

INTIMIDÉ POUR SON HOMOSEXUALITÉ

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que sa va bientôt cècer

Avant j'étais libre et égal
Je n'avais que faire des pensés des autres si capitales
S'amuser et rire, c'était vraiment banal
Je n'avais pas a me casser la tête pour être jovial

Tout était si tranquille
J'étais normal, je croyais aimer les filles
Elles me couraient toujours après comme si elles étaient des chats qui cherche un fil
Et moi je me laissais faire tirer comme une quille

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai vraiment assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer

Tout a changé le jour de mes 12 ans
Lui qui était autresfois sage et normal se réveille par un son de cadrant
Ma mentalité et ma sexualité avait changé spotanément
Mon cerveau et mon corps avaient fait un bon de grands

J'ai commencé à regarder les garçons radieux
Obliant les filles devenu inatirantes, j'ai attrapé un air peureux
De ce que j'étais devenu, je me suis alors renfermé comme un petit piteux
À cette âge je croyais que c'était dangereux

C'est des anées plus tard, que j'ai decidé d'en parler
Mes amis furent les prmiers renseignés
Ils me soutenaient avec fierté et gaité
Le lendemain, tout l'école à été renseignée par une bouche mal fermée

Depuis ce jour malheureux
Insultes et commentaires douloureux
Traversent les passages monstrueux
Seul mes amis povaient me protégés, ils étaient courageux

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt se terminer

J'ai  pensé me suicider
Dévoué à leur en faire baver
Je n'ai pas eu le courage de continuer
Je n'étais sans doute pas assez hâlé pour me... tester

Quand les élèves n'ont rien n,a faire, ils m'équeurrent
Tout ça parce que j'aime les beaux garçon charmeurs
Je ne croyais pas que des humains pouvaient être sans coeur
J'ai tombé dans leur pièges, se sont les leur

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Mais il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer

Je rêve d'un monde égal
Où les différences sont banales
Où je peux parlé à des personnes joviales et amicales
Mais je rêve surtout du jour où je n,aurai plus mal

J'étais sûr que tout allait s'arrêter
Il faut croire que je me suis bien trompé
Aujourd'hui j'en ai plus qu'assez de me faire intimider
Et j'espère que ça va bientôt terminer
Et qu'ils vont m'accepter !!!

Mercredi 24 octobre 2012 à 1:34

La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four

Même si ta mère est sans cèse stressée
Ou qu'elle fait la maman poule pour te protéger
De mavaise humeur elle reste ta maman adorée
Puisqu'au fond c'est elle que t'a « fabriquée »
Tu est lié par le sang pour l'éternité
Coute que coute, elle va te protéger, t'aimer, te soulager, t'encourager, te motiver, te consoler... et ce pour l'étarnité

La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four

Malgré les chicanes fréquantes entre frères tannants
Les pleurs et les mots insultants
Les longues peines, on se comprend
On s'aime sans se le dire fréquament
On ai frère par le sang

La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit la situation, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans un four

Que ce soit ce sacre abondant
Cette confiance aveuglante
Ou cette peur térrifiante
Les disputes ou les bisous fatiguants
Il ne cècera jamais de t'aimer totalement
Ou de se taire carrément
Que veux tu, c'est ton père qui t'aimme follement
Apprend à l'aimer autant !!
Apprend

La famille c'est l'amour
C'est rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans le four

Tes grand-parents sont amusants
Agés, mais toujours contants et sourriants
Encore mariés malgré le temps
Tu joues aux cartes avec eux, rarement
Profite s'en !!
C'est tes grand-parents
Il leur en reste peut-être pu pour longtemps

L famille c'est l'amour
C'est de rester soudé, toujours
Quelque soit les situations, rien ne peut la dissoudre
C'est comme un feu de collère et de joie dans le four

Collées sur toi, tes cousines sont belles
Elles ont l'air tellement maternelle
Avec elles tu leur confies tous, même les plus belles
Avec elles tu rigoles, t'amuses, parles, fais des conneries, tu t'emerdes ...elles
T'aime, ne t'en fais pas... c'est pour l'éternelle !!

C'est ça la famille : l'amour
Pour toujours
Les collades, les enguelades, les chamaillages, les sacrages, les rigolades, les emmerdages, les .... Chaque jours !!
Rien ne la doissous!! <3

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast