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Tout ce que je pense ou fais !!

Samedi 20 octobre 2012 à 20:33

 

Voyageant de longues heures, au grand reffu de rouler
Avec comme compagnie ma famille et l'éblouissant soleil chaffant les passagers
Couverts de coûts de soleil nous nous dirigions vers la plage rafraîchissante
Arrivés, tous sans exception, nous allons nous baigner et la sensation fut éblouissante
Nullement sec, nous repartons puisque la télévision nous attendait
Certes, cette chaleur fut suffochante, cependant on s'en moquait
Equerer de l'écouter, nuit déjà, l'ombre s'étendit
Sûrement par fatigue et par hâte au lendemain on s'endormit complètement épanouit


Samedi 20 octobre 2012 à 19:55

La douche naturellement froide
C'était un jour sombre, la pluie fouettait les toits des maisons repeintes, moi et deux autres de mes amis n'eûmes rien n'à faire. Du fait même que le temps était ennuyant, nous contraints de rester à l'intérieur, nous nous emmerdâmes amèrement. Essayant de trouver des idées de jeu, nous réfléchîmes longuement... Puis spontanément je trouvai le jeu parfait. Un jeu de société, celui-ci (Monopoly) divertissent et d'une longue duré pouvais nous faire passer le temps qui semblait éternellement taché de pluie.  Je leur proposai. Eux n'ayant trouvés aucun autre jeu, acceptèrent avec ambigüité. Le jeu choisit, nous commençâmes la partie. Puis, l'horloge qui tant tôt restait pratiquement immobile fit un bon. Onze heure, déjà une heure qu'on y jouait. Encore loin d'avoir terminer notre partie, ma mère avec sa voix douce et magnifique nous demandâmes si nous voulions aller manger. Entendîmes nos ventres qui faisaient tant de bruits, cela fut une demande que nous n'eûmes le pouvoir de laisser tomber, alors nous partîmes. La table revêtue d'une nappe aux couleurs énergiques nous fit soudainement oublier le mauvais temps dehors. Mangeant comme des bêtes affamées, nous reprîmes tous, sans exception, une assiette de pâtes saucées à l'italienne  sous une excellente tranche de pain frai. « Ropus » , nous si attristés de la température qui n'avait évidement pas changée d'un poil, nous reprîmes le jeu. Sur le point de gager, je m'ajoutas alors quelques hôtels supplémentaires. Eux aussi bien construit que moi m'eurent dépouillés en seulement une demi-heure tout l'argent que j'avais. Découragé, j'abandonnai. Mes amis équeurés depuis longtemps n'attendirent que ça. Une fois le jeu rangé, nous pûmes, encore une fois, aller manger. Cette fois, des pâtisseries fraichement sorties du four, nous eûmes senties, goutées et englouties. La faim maintenant assoupit et les gargouillements s'entendirent. Nous fûmes tous, un après l'autre, un brin de toilette, pour ensuite constater de nouveau que le tempête encore plus sombre que toute à l'heure n'avait point décidée de partir. Déçus pour une troisième fois, nous désespérâmes. Ma mère triste de nous voir mal en point nous donna une idée géniale. Son idée, simple et amusante nous permettrait d'aller s'amuser dehors au lieu de rester dans la maison à suffoquer. Son était d'aller prendre une douche en maillot de bain bien sûr et de jouer au soccer. Tout de suite, nous nous changeâmes. Un fois revêtis, nous courûmes pratiquement nus comme des verres à toutes jambes vers la porte de sortie. Ouvrâmes la porte brusquement, nous nous aperçûmes qu'à l'extérieur il faisait plutôt frisquet. Loin de déclarer forfait à cause de cette fraicheur étonnante, nous si engoués commençâmes à sortir et à se botter le ballon et il faut le préciser un peut n'importe comment. Nous eûmes joués pendant de longues, de très longue, de mégas heures à la pluie.
 
 
Malgré le mauvais temps, cette journée pédagogique amusante et pénarde c'était bien passé. Du moins, c'était déjà beaucoup mieux que de rester assis sur une chaise à écouter un professeur parler. Nous eûmes, par conséquent, pendant une longue semaine, la gorge sèche, la toux, les écoulement nasals... Bref nous avions attrapé un bon rhume.

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