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Tout ce que je pense ou fais !!

Jeudi 25 octobre 2012 à 2:58

Une idée, une leçon de vie !!
C'était pas une nuit ténébreuse que je décidai de me présenter comme président des secondaires 3. Spontanément, ma décision fut prise. Je me mis au travail! Un long crayon à la main, j'écrivis mon texte, étant donné qu'il en fallait un de toute évidence, pour parler devant eux. Pour moi parler devant un vaste publique énergique n'est que pure plaisanterie. Mon texte était construit de la même façon qu'un exposé oral soit : une introduction, des aspects et une conclusion. Je plaçai les paragraphes (aspects) en ordre du plus ennuyant au moins ennuyant. Je terminai ce texte et le pratiquai. Il était long et aisé à apprendre. Une fois assimilé, j'eus naturellement le temps de me coucher. Un quart d'heure après m'être couché, je dormis, complètement exténué.
 
Quelques semaines après cette décision capitale, je me réveilla, comme tous les jours, content de leur annoncer la nouvelle. À l'école j'attendis leur arrivée, mais pas bien longtemps. Un chance!! Arrivèrent en nombre, dans le même troupeau, mes amies fatiguées et épuisées de leur soirée passée, m'écoutèrent avec fugueurs. Moi surexciter je leur dis la nouvelle. Elles me félicitèrent et m'encouragèrent. Elles étaient ravies pour moi et avaient une multitude de projets à me proposer.
 
Je ne leur avais point dis que la seule raison que j'avais pour me présenter aux élections était de mettre une brève compétition pour ces élections là na soient pas ennuyantes.
Peu de jours après, je réfléchis à pourquoi je voulais me présenter, mise apport la raison lamentable que je pensais. Finalement, après une belle heure de concentration à chercher la réponse, j'ai trouvai : « Je voulais mettre plus de vie dans l'école, en y ajoutant des activités et des projets et bien sûr me faire enfin respecter. »   
Puis, vint la date du discours, je fus prêt. Au lycée, à côté de la scène, je me rendis compte que l'autre élève passait avant moi. La déception de ne pas avoir passé le premier m'envahis. Subitement, un enseignant pétulant rentra dans la pièce où moi seul et déprimé, étais assis. Bruyant et jovial, il essaya de me motiver. Il parvint avec succès.
 
Le discours décent de l'autre élève termina et se fut vraisemblablement mon tour à embarquer sur la scène. Arrivé directement devant le public, mes mains mouillées et non moites s'agitèrent, mes jambes tremblèrent, mon cœur battit à des kilomètres... Bref, j'étais stressé à mort!!! Mais puisque j'étais sur scène, je n'eus par conséquent le choix de commencer mon discours.
 
Quelques-uns, pour ne pas dire pratiquement la totalité, eurent envi de s'en aller, au début, mais tous restèrent (sûrement par preuve de respect et par obligation). Trois personnes prosaïques se levèrent et se rassirent par gêne. De plus en plus, que je parlais les gens changèrent leur façon de me voir : leurs visages tantôt frénétiques changèrent du tout au tout !! Ils étaient maintenant rempli d'espoir et de compréhension. Une fois mon discours fini, les téléspectateurs applaudirent et crièrent à pleine voix. Mon discours rempli d'émotions fut un franc succès. Enfin, j'eus la meilleure sensation du monde. Celle qu'on ressent après un moment de stresse atroce qui se transforme  en moment rempli de gaité. Quelle sensation unique!!
 
Approximativement, 15 minutes après mon discours, mes amies vinrent me voir. Elles parlèrent absconsement, mais avec joie. Elles m'eurent également collées, félicitées, encouragées et soutenues.
 
La cloche retentit, j'allai à mon cours. Studieusement, je fis mes travaux, mes devoirs et par la suites je parlai de mon discours avec quelques personnes. Une fois chez moi, je m'écroulai sur mon lit. Je dormis jusqu'au lendemain matin où là, je su, à l'école, que j'avais perdu!! Accablé de tristesse, je partis seul dans un coin reculé de l'école pour réfléchir, me consoler et pleurer... Entre temps, mes amies inquiètes de ne pas me voir partirent à ma recherche. Elles finirent par me trouvées, j'était laissé-pour-compte et triste. Elles essayèrent de me motiver, de me consoler, mais j'étais complètement renfermer. Jusqu'à ce que Corinne me dise :
« Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal : c'est le courage de continuer qui compte »
Sèchement, je lui répondis :
« Winston Churchill »!!
À ce moment précis, je compris que ce n'est pas graves d'avoir des échecs et qu'au contraire il en faut pour continuer notre route et avancer dans la vie !
Depuis ce jour là, chaque échec que j'ai, est une chance de me relever plus fort. Et voilà , une idée, une leçon de vie!!!
 
               

Samedi 20 octobre 2012 à 23:57

Il y a deux ans de cela, ma famille et moi avions été à la plage. Certes avant d'y aller, il fallut nous préparer. Alors nous nous préparâmes tous. Comme à l'habitude, mon beau père, le dernier fut obligé d'aller au toilette, puisqu'il a toujours envi d'y aller a des momments inoportuns.Une fois tous monté, dans l'auto, mon frère et moi, jouions pour passer le temps. Sans trop déranger ceux d'en avant donc mes parents, j'écoutai tranquillement de la musique, surtout celles de NRJ. Mon frère, quant à lui, joua avec son ipod à des petits jeux banals. La qui était plus longue que prévu nous denna le goût de dormir, alors nous nous endormîmes.

Arrivés, nous nous réveillîmes et nous débarquâmes. Chacun apporta un bagage. Nous devions marcher quelques minutes pour arriver à la plage. Mon frère ayant une maladie au genoux, il tomba tête la première. Incapable de se relever, ma mère l'aida. Une fois debout, nous aperçûmes une grosse bosse (équimose) sur sont fron. Les parent qui étaient protècteurs au plus haut point, s'affolèrent. Voyant cela, moi si brillant, j'eu l'idée d'aller chercher la trousse de premier soins. Ma mère s'en servit et mon frère put arrêter de pleurer.

Un fois arriver, eux s'installèrent. Quant à moi, j'allai tout de suite à l'eau... elle était froiden non pas froide plutôt : « fraitte » !! Mais se c'était pas cela qui allait m'arrêter, j'y entrai membre par membres. Après deux minutes, j'en avait par dessus la tête, je jugeai alors que j'était assez loin.

Après plusieurs heures dans l'eau, j'aperçus un triangle gris pâle qui flottait sur l'eau. Impossible de dire c'était quoi !! Quand soudain, il avança vers moi à une vitesse fénoménale. Voyant cela, je me mis à nager de toutes mes forces, j'étais très rapide. cependant, le triangle qui parraissait plus gros à chaque fois qu'il s'envassait était plus rapide que moi. Me tournant, j'aperçus un géant requin blanc. Pris de panique, je gesticulai,criai, hurlai pour que mes parents sachent que je suis en danger. Malgré l'adrénaline qui m'envahissait, le requin me rattrapait. L'horreur se produisit !! Il me prit férocementpar la jambe avec ces dents asserées. Hurlant à toute voix de mal, je sentis de la peau, des muscles pendant, acréchées par quelques fils, dans sa bouche. L'eau au tour de moi n'était plus bleu translucide, mais bien rouge sang et même un peu plus foncé.

Mes parents affolés par mes hurlements, coururent et nagèrent à ma rescousse. Armés d'énormes fusils, ils sont arrivés à côté de moi. Ils appuyèrent simultanément sur la gachette en voyant ce gros requin. Pahff !!! Le requin relacha ma jambe et s'en allait avec deux gros trous au corps.

Ensuit, mes parents me sortirnt de l'eau, ma mère hurlait à s'en défaire les cordes vocales, tandis que mon beau père, étant calme de nature, me fit un bandage temporaire avec un bout de chandail et du papier-collant qu'il avait trouvé dans la trousse. Je me fis transporter jusqu'à l'auto. Assi, je voyais la sang sur mon bandage et c'était dégoûtant !! Ma mère nous conduisait à l'hôspital, mais elle était en état de choc. Elle roulait terriblement vite.En échappant deux accidents, ma mère me dit : « nous sommes bientôt arrivés, ne t'inquiète surtout pas... reste calme ! » Étant énervé et faible, vu le sang qui s'est écoulé, je pris une grande respiration et me détendis.

Arrivés à l'hôpital, encore là, mon beau me transporta à l'interieur. Entrés, je n'eus mème pas le temps de m'assoir et d'attendre. Il m'ont tout de suite amené au bloque opératoire. Changé, prêt je m'instalai sur la tabled'opération... on dirait que j'était à la morgue tellement il faisait sombre, froid et inconfortable ! Malheur !! Anasthésie générales. J'ai alors dû souffler dans un ballon. Étant suposer le faire approximativement dix fois, je n'eus même pas la force de le faire plus que 3 fois et je m'endormis.

L'opération qui avait durée cinq longues heures était finalement terminée. Ils me déplacèrent dans une sale éclairée et partiquement vide. Ma famille attendait là fatiguée, en espérant que je me réveille. Spontanément, j'ouvris les yeux. Un mal de tête intense me pris et disparut. Allant mieux, ayant survécu, je plerai de joie et j'embrassai tous les membres de ma famille, les serrant contre-moi le plus fort possible. Je venais de réaliser à quel point la vie est précieuse et à quel point j'ai été chanceux de survivre à cette opération. Depuis se temps là je vis jour pour jour et croyez moi j'en profite !!!!

Samedi 20 octobre 2012 à 19:55

La douche naturellement froide
C'était un jour sombre, la pluie fouettait les toits des maisons repeintes, moi et deux autres de mes amis n'eûmes rien n'à faire. Du fait même que le temps était ennuyant, nous contraints de rester à l'intérieur, nous nous emmerdâmes amèrement. Essayant de trouver des idées de jeu, nous réfléchîmes longuement... Puis spontanément je trouvai le jeu parfait. Un jeu de société, celui-ci (Monopoly) divertissent et d'une longue duré pouvais nous faire passer le temps qui semblait éternellement taché de pluie.  Je leur proposai. Eux n'ayant trouvés aucun autre jeu, acceptèrent avec ambigüité. Le jeu choisit, nous commençâmes la partie. Puis, l'horloge qui tant tôt restait pratiquement immobile fit un bon. Onze heure, déjà une heure qu'on y jouait. Encore loin d'avoir terminer notre partie, ma mère avec sa voix douce et magnifique nous demandâmes si nous voulions aller manger. Entendîmes nos ventres qui faisaient tant de bruits, cela fut une demande que nous n'eûmes le pouvoir de laisser tomber, alors nous partîmes. La table revêtue d'une nappe aux couleurs énergiques nous fit soudainement oublier le mauvais temps dehors. Mangeant comme des bêtes affamées, nous reprîmes tous, sans exception, une assiette de pâtes saucées à l'italienne  sous une excellente tranche de pain frai. « Ropus » , nous si attristés de la température qui n'avait évidement pas changée d'un poil, nous reprîmes le jeu. Sur le point de gager, je m'ajoutas alors quelques hôtels supplémentaires. Eux aussi bien construit que moi m'eurent dépouillés en seulement une demi-heure tout l'argent que j'avais. Découragé, j'abandonnai. Mes amis équeurés depuis longtemps n'attendirent que ça. Une fois le jeu rangé, nous pûmes, encore une fois, aller manger. Cette fois, des pâtisseries fraichement sorties du four, nous eûmes senties, goutées et englouties. La faim maintenant assoupit et les gargouillements s'entendirent. Nous fûmes tous, un après l'autre, un brin de toilette, pour ensuite constater de nouveau que le tempête encore plus sombre que toute à l'heure n'avait point décidée de partir. Déçus pour une troisième fois, nous désespérâmes. Ma mère triste de nous voir mal en point nous donna une idée géniale. Son idée, simple et amusante nous permettrait d'aller s'amuser dehors au lieu de rester dans la maison à suffoquer. Son était d'aller prendre une douche en maillot de bain bien sûr et de jouer au soccer. Tout de suite, nous nous changeâmes. Un fois revêtis, nous courûmes pratiquement nus comme des verres à toutes jambes vers la porte de sortie. Ouvrâmes la porte brusquement, nous nous aperçûmes qu'à l'extérieur il faisait plutôt frisquet. Loin de déclarer forfait à cause de cette fraicheur étonnante, nous si engoués commençâmes à sortir et à se botter le ballon et il faut le préciser un peut n'importe comment. Nous eûmes joués pendant de longues, de très longue, de mégas heures à la pluie.
 
 
Malgré le mauvais temps, cette journée pédagogique amusante et pénarde c'était bien passé. Du moins, c'était déjà beaucoup mieux que de rester assis sur une chaise à écouter un professeur parler. Nous eûmes, par conséquent, pendant une longue semaine, la gorge sèche, la toux, les écoulement nasals... Bref nous avions attrapé un bon rhume.

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