xvt-gabriel-vie666-citations-dt0

Tout ce que je pense ou fais !!

Samedi 20 octobre 2012 à 23:57

Il y a deux ans de cela, ma famille et moi avions été à la plage. Certes avant d'y aller, il fallut nous préparer. Alors nous nous préparâmes tous. Comme à l'habitude, mon beau père, le dernier fut obligé d'aller au toilette, puisqu'il a toujours envi d'y aller a des momments inoportuns.Une fois tous monté, dans l'auto, mon frère et moi, jouions pour passer le temps. Sans trop déranger ceux d'en avant donc mes parents, j'écoutai tranquillement de la musique, surtout celles de NRJ. Mon frère, quant à lui, joua avec son ipod à des petits jeux banals. La qui était plus longue que prévu nous denna le goût de dormir, alors nous nous endormîmes.

Arrivés, nous nous réveillîmes et nous débarquâmes. Chacun apporta un bagage. Nous devions marcher quelques minutes pour arriver à la plage. Mon frère ayant une maladie au genoux, il tomba tête la première. Incapable de se relever, ma mère l'aida. Une fois debout, nous aperçûmes une grosse bosse (équimose) sur sont fron. Les parent qui étaient protècteurs au plus haut point, s'affolèrent. Voyant cela, moi si brillant, j'eu l'idée d'aller chercher la trousse de premier soins. Ma mère s'en servit et mon frère put arrêter de pleurer.

Un fois arriver, eux s'installèrent. Quant à moi, j'allai tout de suite à l'eau... elle était froiden non pas froide plutôt : « fraitte » !! Mais se c'était pas cela qui allait m'arrêter, j'y entrai membre par membres. Après deux minutes, j'en avait par dessus la tête, je jugeai alors que j'était assez loin.

Après plusieurs heures dans l'eau, j'aperçus un triangle gris pâle qui flottait sur l'eau. Impossible de dire c'était quoi !! Quand soudain, il avança vers moi à une vitesse fénoménale. Voyant cela, je me mis à nager de toutes mes forces, j'étais très rapide. cependant, le triangle qui parraissait plus gros à chaque fois qu'il s'envassait était plus rapide que moi. Me tournant, j'aperçus un géant requin blanc. Pris de panique, je gesticulai,criai, hurlai pour que mes parents sachent que je suis en danger. Malgré l'adrénaline qui m'envahissait, le requin me rattrapait. L'horreur se produisit !! Il me prit férocementpar la jambe avec ces dents asserées. Hurlant à toute voix de mal, je sentis de la peau, des muscles pendant, acréchées par quelques fils, dans sa bouche. L'eau au tour de moi n'était plus bleu translucide, mais bien rouge sang et même un peu plus foncé.

Mes parents affolés par mes hurlements, coururent et nagèrent à ma rescousse. Armés d'énormes fusils, ils sont arrivés à côté de moi. Ils appuyèrent simultanément sur la gachette en voyant ce gros requin. Pahff !!! Le requin relacha ma jambe et s'en allait avec deux gros trous au corps.

Ensuit, mes parents me sortirnt de l'eau, ma mère hurlait à s'en défaire les cordes vocales, tandis que mon beau père, étant calme de nature, me fit un bandage temporaire avec un bout de chandail et du papier-collant qu'il avait trouvé dans la trousse. Je me fis transporter jusqu'à l'auto. Assi, je voyais la sang sur mon bandage et c'était dégoûtant !! Ma mère nous conduisait à l'hôspital, mais elle était en état de choc. Elle roulait terriblement vite.En échappant deux accidents, ma mère me dit : « nous sommes bientôt arrivés, ne t'inquiète surtout pas... reste calme ! » Étant énervé et faible, vu le sang qui s'est écoulé, je pris une grande respiration et me détendis.

Arrivés à l'hôpital, encore là, mon beau me transporta à l'interieur. Entrés, je n'eus mème pas le temps de m'assoir et d'attendre. Il m'ont tout de suite amené au bloque opératoire. Changé, prêt je m'instalai sur la tabled'opération... on dirait que j'était à la morgue tellement il faisait sombre, froid et inconfortable ! Malheur !! Anasthésie générales. J'ai alors dû souffler dans un ballon. Étant suposer le faire approximativement dix fois, je n'eus même pas la force de le faire plus que 3 fois et je m'endormis.

L'opération qui avait durée cinq longues heures était finalement terminée. Ils me déplacèrent dans une sale éclairée et partiquement vide. Ma famille attendait là fatiguée, en espérant que je me réveille. Spontanément, j'ouvris les yeux. Un mal de tête intense me pris et disparut. Allant mieux, ayant survécu, je plerai de joie et j'embrassai tous les membres de ma famille, les serrant contre-moi le plus fort possible. Je venais de réaliser à quel point la vie est précieuse et à quel point j'ai été chanceux de survivre à cette opération. Depuis se temps là je vis jour pour jour et croyez moi j'en profite !!!!

Samedi 20 octobre 2012 à 21:31

Citations propres
1- N'est jamais honte des choix que tu as pris et surtout ne désir jamais changer le passé puisqu'il suffit d'un petit changement et tout peu instantanément prendre une forme peu désirée.
2- Même les esprits les plus tordues savent que fumer et intimider est approximativement la même chose, sauf qu'à l'égard de l'autre un des deux peu tuer la personne qui le subit et non celle qui le fait.
3- Les mots s'envolent et les gestes restent, mais c'est faux. Car je me souviens beaucoup plus de ce qu'ils m'ont dit que de ce qu'il m'ont fais.
4- L'humanité est si cruel qu'il n'y a pas de mot pour la décrire telle qu'elle est vraiment.
5- Un vissage révèle tout même les plus sombres mensonges.
6- Pour mentir il faut savoir le faire. Sinon cela donne évidement rien.
7- Garde ton dégoût pour toi et n'en fait part à personne parce que personne ne te prendra en pitié.
8- Ne pas prendre le temps de connaitre une personne avant de la juger est malheureusement trop fréquent.
9- Tellement conscient l'être humain peut être, tellement inconscient nous sommes.
10- J'écorcherais tous ceux qui m'ont agacer avec ma différence pour leur montrer que en dehors de leur pauvre enveloppe charnelle ils sont identiques en tout points avec moi.
11- Il y a deux façons d'être fâché : la première se contrôler, la seconde briser tout et sacrer sont camps!
12- Quand nous faisons une promesse et que nous ne la respectons pas, qu'est-ce qu'elle vaut en faite, mise apport le fait de provenir d'un mensonge odieux.
13- Si tu es triste, viens triste. Si tu es malheureux, viens malheureux. Mais si tu viens joyeux et que tu ne l'es pas, tu n'es rien de plus qu'un maitre portant un masque.
14- Le mouton suit le berger, ainsi ce berger peut profiter de ce mouton qui le suivra aveuglément.
15- Entre le vouloir et le pouvoir, entre la maison et la famille se cache l'incertitude tristesse.
16- Une maison se fiche complètement de qui vie à l'intérieur. Elle veut simplement donnée le meilleur d'elle-même pour propage beauté, amour et respect de la nature humaine.
16- La tristesse, se sentiment incessant de pleurer apporte ni bien ni mal, plutôt quelques larmes et une libération partielle de la douleur.
17- La nuit dans mon lit, seul perdu dans mes pensées, je m'assure que mon intelligence ne dépasse jamais la folie et c'est pour cela que je ne dore pas. Mais parfois la folie réussi a me déjouée et je m'endore
18- Mieux vaut être fou que intelligent, puisque l'intelligence se termine dans la tombe, tandis que la folie continue même après y avoir été.
19- Nous sommes tous intelligent, sauf que certain l'oublient plus souvent que d'autre.
 

Samedi 20 octobre 2012 à 21:14

LES NOUVELLES MORTES À NOËL

C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Elles si belles et si éternelles
Se faisaient traiter de poubelle

Contraintes à rester isolées
Seules sans ami pour les surveiller
Pour s'amuser ou même se confier
Elles étaient déprimées

La neiges réfléchissait leurs visages
Les insultes résonnaient dans le passages
Malgré tout elles restaient perchées sur leur rivage

Les professeurs de l'école n'y voyaient rien
Pourtant elles étaient traiter comme des chien
Des moins que rien, des putins, des crotins
Ils n'y voyaient rien, même si elles pleuraient leurs reins

C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Elles qui étaient si belles et si naturelles
Se faisaient traiter de poubelle

Grossièrement remplit d'insultes leurs coeurs gelés
Nattendaient que des amis sur qui compter
Et espérer être dégéler

Leurs amours cachés dans les poux
Terrorisées par la réaction des fous
Elles sortirent des recoins par le brillements des bijoux
Liberées, elles perdirent au ventre, leurs trous

Les deux amoureuses réunies
Vont s'aimer jusqu'à la fin de leur vie
Leur peur d'affronter la vérité s'abolit
Liberées elles pensèrent que la partie était fini
Quelle connerie

C'était un beau Noël
On accueillait les nouvelles
Belles comme l'éternelle
Elles se faisaient traiter de poubelle

Les deux tourteraux scintillentes
Furent prises d'une rage aveuglante
Celle de choisir entre entre la mort ou les vivants
Décidèrent, elles étaient prêtes... apparemment

C'était un malheureux Noël
On accueillait la mort des nouvelles
Elles si belles et si mort``elles
Se faisaient traiter de poubelle

Elles seules à Noël
Prirent les pilules des mort``elles
Les anges désendus du ciel
Sont venus retrouver leurs âmes surréels
Maintenant devenus immortels

Leurs suicides ayant fonctionnées
Les parents furent attristés
Les cons remplis de remords éternelles
Et une terre sans elles

Souffrances et morts, c'était un Noël
On pleurait sur ellles qui étaient au ciel
Elles qui semblaient si éternelles et marternelles
Maintenant se faisaient respecter au pluriels

Gravés dans nos mémoires jusqu'à notre mort
Nous n'avions jamais pu exprimer avec précision le tord
Que l'on leur avait fait par peur
D'etre rejeter, on n'est accablés de remords

C'était un Noël mort``elles
C'était une histoire réelle
On accueillat les nouvelles
Elles qui étaient si belles
Furent emportées par le ciel
Par la seule raison cruelle
De les avoir traiter de poubelle


Samedi 20 octobre 2012 à 20:33

 

Voyageant de longues heures, au grand reffu de rouler
Avec comme compagnie ma famille et l'éblouissant soleil chaffant les passagers
Couverts de coûts de soleil nous nous dirigions vers la plage rafraîchissante
Arrivés, tous sans exception, nous allons nous baigner et la sensation fut éblouissante
Nullement sec, nous repartons puisque la télévision nous attendait
Certes, cette chaleur fut suffochante, cependant on s'en moquait
Equerer de l'écouter, nuit déjà, l'ombre s'étendit
Sûrement par fatigue et par hâte au lendemain on s'endormit complètement épanouit


Samedi 20 octobre 2012 à 19:55

La douche naturellement froide
C'était un jour sombre, la pluie fouettait les toits des maisons repeintes, moi et deux autres de mes amis n'eûmes rien n'à faire. Du fait même que le temps était ennuyant, nous contraints de rester à l'intérieur, nous nous emmerdâmes amèrement. Essayant de trouver des idées de jeu, nous réfléchîmes longuement... Puis spontanément je trouvai le jeu parfait. Un jeu de société, celui-ci (Monopoly) divertissent et d'une longue duré pouvais nous faire passer le temps qui semblait éternellement taché de pluie.  Je leur proposai. Eux n'ayant trouvés aucun autre jeu, acceptèrent avec ambigüité. Le jeu choisit, nous commençâmes la partie. Puis, l'horloge qui tant tôt restait pratiquement immobile fit un bon. Onze heure, déjà une heure qu'on y jouait. Encore loin d'avoir terminer notre partie, ma mère avec sa voix douce et magnifique nous demandâmes si nous voulions aller manger. Entendîmes nos ventres qui faisaient tant de bruits, cela fut une demande que nous n'eûmes le pouvoir de laisser tomber, alors nous partîmes. La table revêtue d'une nappe aux couleurs énergiques nous fit soudainement oublier le mauvais temps dehors. Mangeant comme des bêtes affamées, nous reprîmes tous, sans exception, une assiette de pâtes saucées à l'italienne  sous une excellente tranche de pain frai. « Ropus » , nous si attristés de la température qui n'avait évidement pas changée d'un poil, nous reprîmes le jeu. Sur le point de gager, je m'ajoutas alors quelques hôtels supplémentaires. Eux aussi bien construit que moi m'eurent dépouillés en seulement une demi-heure tout l'argent que j'avais. Découragé, j'abandonnai. Mes amis équeurés depuis longtemps n'attendirent que ça. Une fois le jeu rangé, nous pûmes, encore une fois, aller manger. Cette fois, des pâtisseries fraichement sorties du four, nous eûmes senties, goutées et englouties. La faim maintenant assoupit et les gargouillements s'entendirent. Nous fûmes tous, un après l'autre, un brin de toilette, pour ensuite constater de nouveau que le tempête encore plus sombre que toute à l'heure n'avait point décidée de partir. Déçus pour une troisième fois, nous désespérâmes. Ma mère triste de nous voir mal en point nous donna une idée géniale. Son idée, simple et amusante nous permettrait d'aller s'amuser dehors au lieu de rester dans la maison à suffoquer. Son était d'aller prendre une douche en maillot de bain bien sûr et de jouer au soccer. Tout de suite, nous nous changeâmes. Un fois revêtis, nous courûmes pratiquement nus comme des verres à toutes jambes vers la porte de sortie. Ouvrâmes la porte brusquement, nous nous aperçûmes qu'à l'extérieur il faisait plutôt frisquet. Loin de déclarer forfait à cause de cette fraicheur étonnante, nous si engoués commençâmes à sortir et à se botter le ballon et il faut le préciser un peut n'importe comment. Nous eûmes joués pendant de longues, de très longue, de mégas heures à la pluie.
 
 
Malgré le mauvais temps, cette journée pédagogique amusante et pénarde c'était bien passé. Du moins, c'était déjà beaucoup mieux que de rester assis sur une chaise à écouter un professeur parler. Nous eûmes, par conséquent, pendant une longue semaine, la gorge sèche, la toux, les écoulement nasals... Bref nous avions attrapé un bon rhume.

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast